Renewable energy and biodiversity

L’urgence climatique devient celle des collaborateurs

Le réchauffement climatique fût le sujet principal. Les récents dérèglements météorologiques et la COP26 font augmenter la pression. On discute dorénavant des actions et de grandes entreprises actives en Suisse peuvent partager leurs expériences. Dès lors, ce sujet est abordé maintenant par des entreprises qui ne peuvent dégager beaucoup de ressources. Elles se retrouvent face à une urgence d’agir, et de façon très efficiente, car avec des moyens limités.

Le Conseil fédéral fixe les lignes directrices pour le rapport climatique des grandes entreprises

Protéger le climat, promouvoir les PME (Fondation Suisse pour le climat)

 

Les préoccupations vertes tournent autour de trois thèmes qui se rejoignent

Les autres sujets environnement sont essentiellement l’économie circulaire et la gestion des déchets. Ces thèmes permettent des économies et sont complémentaires. De plus, ils sont probablement plus aisés à développer, avec ses collègues, que la biodiversité car ils peuvent être traités de façon sectorielle au sein d’une entreprise, au contraire de la biodiversité. 

L’économie circulaire, c’est bon pour le climat et pour l’emploi

 

La biodiversité émerge, lentement

L’idée que la biodiversité et le climat nécessitent des solutions conjointes fait son chemin. Et cela s’arrête pour l’instant là. En 2020, 17% des entreprises (selon Focused Reporting) avaient définis des objectifs pour la biodiversité. Les outils pour intégrer la biodiversité sont encore très récents et les actions pour le climat occupent déjà suffisamment les esprits. Mais comme la biodiversité pourra être traité en partie de la même façon que le climat, l’intérêt pour la biodiversité est bien présent et pourrait très vite devenir prépondérant. La COP15 de ce printemps va sûrement aider à passer à l’action.

Focused Reporting | Discover what matters

La COP15, sommet pour la préservation de la biodiversité, en quelques chiffres

 

La durabilité pour souder les générations et les entreprises

Le départ à la retraite des babyboumers (1946-1965) va placer les économies occidentales dans un manque de collaborateurs.trices. Pour négocier au mieux la transition écologique, les entreprises auront besoin des compétences des seniors. Une nouvelle solidarité transgénérationnelle, ou durabilité sociale, pourrait se développer : soutenir les envies de transformation des générations y et z (moins de 30 ans) par l’expérience des seniors et génération x.

Le capital humain, ressource pour le futur (Dr. Steffi Burkhart, en anglais)

 

 

Alors restez à l’écoute et sortez prendre l’air !