Divulgation d’informations sur la biodiversité et la nature pour les entreprises

Entreprise biodiversité: Tous ces acronymes barbares, CSRD ESRS E4, TNFD, SBTN, GRI 101 ont maintenant leurs solutions ! La plateforme européenne B@B a publié une comparaison très opportune et une évaluation croisée de la qualité. Un cadeau de Noël anticipé mais bienvenu. Vous pouvez consulter le rapport ici : le rapport

Calmons-nous et voyons comment cette publication pourrait devenir le livre de chevet de toute personne travaillant dans le domaine de la santé publique. nature de l’entreprise.

Si vous êtes pressé, lisez d’abord l’aperçu comparatif (rubrique 3.3, page 62 et suivantes). En résumé, la directive TNFD est la plus exigeante, car elle requiert une évaluation des risques et des opportunités, un plan de transition et tous les niveaux de la chaîne de valeur (pour être pleinement conforme). La GRI est la moins exigeante et se concentre principalement sur les impacts. Quoi qu’il en soit, l’approche LEAP de la TNFD et ses lignes directrices sectorielles sont utiles pour les deux autres initiatives de divulgation. Du côté de l’action, la gbfkm et frontières planétaires sont importantes pour fixer des objectifs, toujours structurés selon la hiérarchie des mesures d’atténuation. Le diable se cache dans les détails, car les exigences en matière de mesures diffèrent considérablement. Ceci est très important compte tenu de l’investissement que représente la collecte de données correspondant à des paramètres spécifiques.

Si vous êtes soumis aux normes CSRD et que vous vous attendez à ce que la biodiversité soit importante, consultez le tableau 2, p.15. Ce tableau met en évidence les synergies entre les normes CSRD.

Si vous échelonnez votre effort de divulgation et souhaitez commencer par le CSRD, voir le tableau 9 aux pages 65 et suivantes. La possibilité d’adapter le travail de RSE au TNFD ou à la GRI 101 et vice versa est indiquée.

Si vous souhaitez sélectionner les paramètres les plus susceptibles d’être exigés par la plupart de ces initiatives, reportez-vous à l’annexe 1. Elle donne une excellente vue d’ensemble des indicateurs obligatoires/volontaires. Ce tableau vous permettra de gagner du temps lors de la définition des actions et de leur suivi.

Je trouve qu’il est tout à fait approprié de présenter des cadres pour les institutions financières ou les entreprises. Les deux secteurs doivent collaborer pour lutter contre la perte de biodiversité et cela peut commencer par la compréhension des approches de chaque partie, avant de donner/demander de l’argent. Voir le titre 4, pages 70 et suivantes.

La mise en page n’a donc pas le même niveau de sophistication que celle de l’un de ses sujets (par exemple, le TNFD). Quoi qu’il en soit, on peut s’attendre à ce que les principaux lecteurs de cette publication de la plate-forme B@B préfèrent un contenu informatif. Et si cela peut faciliter une mise à jour régulière, de quoi se plaindre ? Car il n’est pas certain que tous les hyperliens très utiles resteront actifs pendant longtemps. 🫨

🙏 à Johan LAMMERANT et ses collègues

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